Poème courtisan.

Charlotte de Windsor Altesse mignonnette

À qui je me plais à faire un clin d'oeil ici

C'est fini je le crains l'existence douillette

Au loin des courants d'air à l'abri des soucis

Lors de votre baptême aurai-je des dragées

Les réserverez-vous aux personnes z’âgées

Il nous reste un moment pour gaiement deviser

Au bout de ce temps-là nous devrons aviser

Surtout n'oubliez pas princesse la soeurette

Francesca Marina qui née sur un bateau

Entre l'Afrique et Lampedusa la pauvrette

A mérité que vous l'invitiez au château

Pour jouer au croquet au loup à la dînette

Et partager un thé autour d'un bon gâteau.

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Le temps change.

Le temps change tout le temps

À tout bout de champ

On le voit qui change

Des oiseaux il rend le chant

Hésitant

Intermittent

C'est un phénomène étrange

Un orage crépitant

Survient brutal qui dérange

Le cochon dedans sa fange

Dans sa niche un chien “méchant”

Et sur son nuage un ange

Appuyons fort le tranchant

Du couteau sur le fruit pour faire un jus d'orange

Et goûtons l'arc-en-ciel et le soleil couchant.

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Lady Dudley.

Elle était certes pécheresse

L'Anglaise aux seins pointus qui songeait à ses ex

Il est vrai que par temps de grande sécheresse

Ça reste sec dans le Sussex.

 

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Pinnipédie.

La mer en furie

Rugit

La mère otarie

Avec la mer interagit

Le vent fait un bruit de perceuse

On a vu mieux comme berceuse

Le bébé bercé

Qui fort vagissait

Rendant sa mère un peu nerveuse

Deviendras-tu bonne nageuse

À la pêche une valeureuse

Tomberas-tu tôt amoureuse

Que de questions à ton sujet

Force soucis maternels j'ai

Par ta jeunesse tapageuse

Mes vieux jours à la fin seront-ils dérangés

Les otaries âgées n'aiment pas le tapage

Le bébé bercé dis-je à la fin devient sage

La mère en l'allaitant continue à songer.

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